L’âgisme et l’agile, à prime abord on ne voit pas bien le lien. L’âgisme est une “attitude” de discrimination ou de ségrégation à l’encontre des personnes âgées selon la définition donnée par le Larousse. L’âgisme, que l’on pourrait aussi définir comme le mépris de l’âge, se traduit par des attitudes négatives envers notamment les seniors. Mais l’âgisme s’applique aujourd’hui à tous les âges par conséquent L’âgisme (attitude) et l’agile (philosophie) sont amenées à coexister dans l’environnement de travail.

De la même manière que le sexisme ou le racisme, il se traduit par des comportements fondés sur des préjugés et des pratiques discriminatoires. Lorsque des idées préconçues influençant une aversion générale pour les travailleurs de la génération du millénaire et de la génération Z se combinent avec les structures traditionnelles d’ancienneté, il peut en résulter un environnement de travail qui retient les jeunes plus que jamais, ayant un impact négatif sur la trajectoire de carrière, freinant la progression et entravant les opportunités de mentora et de promotion.

La philosophie agile, l’ingérence silencieuse et le droit à l’erreur permettent de libérer les talents et de révéler le leadership des individus. En leur laissant la possibilité de prendre des initiatives et de faire ce qui doit être fait au bon moment, cela permet à ceux qui, dentant, subissait l’âgisme, d’être vraiment eux même et libérer leur potentiel de développement. Au final d’avoir une vraie valeur ajoutée pour leurs équipes et leurs entreprises.

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